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Calendrier des expositions

Boomerang – présenté par Galina Stetco

Du 5 au 30 mai
Vernissage le jeudi 5 mai, 19 h

  • Prix Gratuit
  • Lieu Galerie La Seigeurie

L’œuvre de Galina Stetco est fortement marquée par son enfance et par l’univers dans lequel elle a grandi. La nature et les animaux qui l’entourent la protègent. C’est dans ses racines qu’elle puise sa force intérieure.

La fragilité de l’enfant est contrebalancée par sa naïveté qui le rend fort et intouchable. Là où l’adulte serait effrayé par les serpents menaçants, l’enfant s’en amuse, voire s’en moque. Rien ne l’effraie, ni la créature animale derrière lui ni celle qui l’enfouit dans ses entrailles. La figure maternelle et le questionnement de l’artiste sur la maternité sont très présents, au même titre que les symboles bibliques, tel le poisson représentant la renaissance dans l’Église primitive.

La quête d’identité au premier abord nostalgique n’est pas si paisible, bien au contraire. Avec Stetco, tout est dans l’ambiguïté. De sa palette pastel se dégage une forme de fluidité et d’harmonie. Pourtant, cette tranquillité est parfois perturbée par l’emploi d’un rose fort ou d’un rouge écarlate, ou même d’un gris marron-noir trouble qui viennent salir la toile.

Au fil de la narration et du temps, la toile devient plus expressive : des épaisseurs apparaissent par endroits dans la peinture, alors qu’ailleurs elle est grattée, effacée, vidée, laissant deviner une certaine colère ou des blessures. Derrière une grande pudeur se cache un message profond.

Énigmatique, Stetco n’a pas fini de nous surprendre.

L’œuvre de Galina Stetco est fortement marquée par son enfance et par l’univers dans lequel elle a grandi. La nature et les animaux qui l’entourent la protègent. C’est dans ses racines qu’elle puise sa force intérieure.

La fragilité de l’enfant est contrebalancée par sa naïveté qui le rend fort et intouchable. Là où l’adulte serait effrayé par les serpents menaçants, l’enfant s’en amuse, voire s’en moque. Rien ne l’effraie, ni la créature animale derrière lui ni celle qui l’enfouit dans ses entrailles. La figure maternelle et le questionnement de l’artiste sur la maternité sont très présents, au même titre que les symboles bibliques, tel le poisson représentant la renaissance dans l’Église primitive.

La quête d’identité au premier abord nostalgique n’est pas si paisible, bien au contraire. Avec Stetco, tout est dans l’ambiguïté. De sa palette pastel se dégage une forme de fluidité et d’harmonie. Pourtant, cette tranquillité est parfois perturbée par l’emploi d’un rose fort ou d’un rouge écarlate, ou même d’un gris marron-noir trouble qui viennent salir la toile.

Au fil de la narration et du temps, la toile devient plus expressive : des épaisseurs apparaissent par endroits dans la peinture, alors qu’ailleurs elle est grattée, effacée, vidée, laissant deviner une certaine colère ou des blessures. Derrière une grande pudeur se cache un message profond.

Énigmatique, Stetco n’a pas fini de nous surprendre.

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